Bobolène, hagiographe grand-reporter ?

Par Élodie Paupe, doctorante en littérature latine, spécialiste en humanités numériques

Vers 690, le moine Bobolène séjourne au monastère de Moutier-Grandval. Il y rencontre deux hommes contemporains des terribles événements qui ont coûté la vie à l’abbé Germain et à son prieur Randoald quelques années plus tôt. En découle la passion de saint Germain, premier texte littéraire de la région, au réalisme quasi journalistique. Quelles libertés Bobolène a-t-il prises par rapport aux règles de l'hagiographie ? De quelles sources s'est-il inspiré ?

Entrée libre

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