Les Snieulettes

Les Snieulettes – Présentation du groupe

Les Snieulettes (ou même parfois The Snieulettes selon l’humeur) partagent des micros au gré de concerts divers depuis plus de 20 ans. Du groupe Funk Collectif, qui rassemblait les voix de Nathalie Paupe et des soeurs Sophie et Julie Kummer dans les années deux mille, aux stages Glo-Gospel organisés par la famille Kummer auxquels participait Cynthia Berney, aux sons soul et pop de L’Orchestre Jaune duquel Sophie et Nathalie font partie avec Pauline Maurer – autant d’occasions pour les cinq laronnes de se côtoyer musicalement.

Mais ça n’est qu’en 2021 que les cinq chanteuses partagent finalement la même scène, en même temps. ‘Pour un concert de la Fête de la Musique, on m’avait donné carte blanche, et j’ai eu envie de réunir mes copines chanteuses pour un projet vocal qui était censé être, au départ, une seule représentation’ explique Sophie Kummer-Noir. ‘Entre nous, on a concocté un répertoire qui couvrait les goûts musicaux de chacune : des reprises soul, un gospel a capella, quelques chansons françaises qui font danser les gens…’ Le public et les organiseurs sont enchantés, et les chanteuses inspirées à continuer.

Leur nom, les Snieulettes, est un clin d’oeil à leurs origines jurassiennes (on peut plus ou moins traduire par ‘geindre’), mais épelé comme une révérence aux groupes féminins des années soixante venus tout droit du label Motown – telles The Raelettes (qui accompagnaient Ray Charles) ou encore The Marvelettes (‘les merveilleuses’) du fameux hit ‘Mr Postman’. Ou même encore Les Claudettes, qui elles-mêmes étaient inspirées des choristes de Ike et Tina Turner.

Parfois a capella, parfois accompagnées au piano ou au ukulele, les voix des Snieulettes s’arrangent dans une rare complicité harmonique, fruit de plus de 100 ans combinés d’expérience de chant.

Depuis leur premier concert en 2021, le répertoire des Snieulettes s’est étoffé et contient des arrangements vocaux originaux, des medleys inattendus (quand ‘Rolling in the Deep’ d’Adele rencontre ‘Crazy’ de Gnarl’s Barkley), quelques airs d’antan d’Edith Piaf et Charles Aznavour – mais aussi de la pop de Lady Gaga ou Billie Eilish

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